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vendredi 15 juillet 2016

Pékin dit "avoir le droit" d’instaurer une zone de défense aérienne en mer de Chine


Pékin a dit mercredi vouloir créer une "zone d'identification de la défense aérienne" en mer de Chine, au lendemain d'une décision arbitrale de la Cour permanente d'arbitrage (CPA) qui a rejeté ses revendications sur cette région stratégique.

Pékin voit rouge après la décision de la Cour permanente d'arbitrage (CPA) au sujet de la mer de Chine. La Chine a mis en garde contre les risques de "conflit" sur la zone méridionale de cette mer et affirmé son droit d'y créer une zone de défense aérienne mercredi 13 juillet. Le jugement international de la CPA  qui a considéré sans fondement ses revendications sur l'essentiel de cette région stratégique.

Cette cour basée à La Haye a donné gain de cause aux Philippines mardi, jugeant qu'il n'y avait "aucun fondement juridique pour que la Chine revendique des droits historiques sur des ressources dans les zones maritimes" de la majeure partie de la mer de Chine du Sud.
La sentence d'arbitrage est "un papier bon à jeter", a réagi le vice-ministre chinois des Affaires étrangères Liu Zhenmin, affirmant le "droit" de Pékin d'instaurer "zone d'identification de la défense aérienne" (Adiz) dans la région. Que Pékin mette en place cette zone, qui verrait les avions civils contraints de s'identifier auprès de contrôleurs militaires, "dépend du niveau de menace que nous subissons".
Une prétention fondée sur des cartes chinoises de 1940
Par le passé, la Chine a déjà proclamé une Adiz en 2013 sur une grande partie de la mer de Chine orientale, entre la Corée du Sud et Taïwan, suscitant l'ire de la communauté internationale.
Pékin a également publié un document réaffirmant la légitimité de ses "droits historiques" sur cette mer, droits que la CPA a jugé sans "aucun fondement juridique".
Revendiquant la quasi totalité de cette mer, la Chine argue qu'elle est la première à avoir découvert, donné un nom et exploité cet espace. Elle se fonde sur une délimitation en "neuf pointillés" apparue sur des cartes chinoises des années 1940.
Îles artificielles géantes
Les prétentions chinoises sont à ce point contradictoires avec celles de Taïwan, du Vietnam, des Philippines, de Malaisie et Brunei que l'ancien gouvernement philippin de Benigno Aquino a fini par saisir la CPA en 2013, un an après que la Chine eut pris le contrôle de Scarborough, récif poissonneux situé dans la zone économique exclusive des Philippines (ZEE), à 650 km de l'île chinoise de Hainan (sud).
Ces dernières années, la Chine a construit des îles artificielles géantes capables d'abriter des infrastructures militaires et des pistes d'atterrissage sur les Spratley, l'un des principaux archipels. Des constructions déclarées illégales par la CPA, de même que le fait d'empêcher les Philippins de pêcher sur Scarbourough. Pékin affirme, quant à elle, que des bateaux de pêche chinois ont été attaqués par les Philippines aux alentours des îles Spratleys.
À la suite de la décision de la CPA, les Philippines ont réagi avec prudence mardi soir en appelant à la "retenue". Le président philippin Rodrigo Duterte a maintes fois répété qu'il voulait améliorer les relations bilatérales. Il cherche notamment à obtenir des investissements chinois pour des grands projets d'infrastructures.

Avec AFPet Reuters
Dernière modification : 13/07/2016

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