news alert

>NEWS ALERT: Stand Up and Fight for Cambodia’s survival !! រួមឈាមខ្មែរអើយ គប្បីភ្ញាក់ឡើង !!!! គ្មានកម្លាំងបរទេសមកពីក្រៅណាមួយអាចផ្តួលរំលំបនអាយ៉ង ហ៊ុនសែននិងអាយួនបានទេ។ គឺមានតែកម្លាំងប្រជាពលរដ្ឋខ្មែរបះបោរកេណ្ឌគ្នាតាមច្បាប់ធម្មជាតិទេដែលអាចរំដោះស្រុកខ្មែរបាន។ នាំគ្នាទៅបោះឆ្នោតជាមួយអាយួននិងអាយ៉ងហ៊ុនសែនដើម្បីអ្វី ? ខ្មែរអើយក្រោកឡើងតស៊ូដើម្បីជាតិខ្មែររស់ !! Hand in hand we stand !! Shoulder to Shoulder we march !! Heart to Heart we rearch!! Stand Up and Fight for Cambodia’s survival !!

vendredi 15 décembre 2017

La diplomatie américaine se dit prête à discuter avec Pyongyang sans conditions


Les Etats-Unis ont dit mardi 12 décembre être prêts à entamer des discussionsavec la Corée du Nord « sans condition préalable », même s’ils restent déterminés à obtenir par tous les moyens, y compris militaires, que Pyongyang renonce à l’arme nucléaire.

Au moment même où le chef de la diplomatie américaine Rex Tillerson faisait cette annonce qui semble assouplir la position de Washington, le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un a lui alimenté la guerre des mots de ces derniers mois, en faisant connaître son intention de faire de son pays « la puissance nucléaire et militaire la plus forte au monde ».

« Ils ont bien trop investi là-dedans »

Jusqu’ici, l’administration de Donald Trump avait toujours affirmé que d’éventuelles futures négociations avec la Corée du Nord ne pourraient se tenir, à terme, qu’à condition d’avoir comme objectif la dénucléarisation de la péninsule coréenne.
« Il n’est pas réaliste de dire nous allons discuter avec vous seulement si vousvenez à la table des négociations prêts à abandonner votre programme »nucléaire, a fait valoir mardi M. Tillerson lors d’une conférence à Washington.
« Ils ont bien trop investi là-dedans », a-t-il estimé au sujet du développementde missiles intercontinentaux et d’armes nucléaires par Pyongyang.
« Nous sommes prêts à discuter dès que la Corée du Nord voudra discuterNous sommes prêts à tenir une première réunion sans condition préalable. »
« Rencontrons-nous, parlons de la météo si vous voulez, ou discutons pour savoir s’il faut une table carrée ou ronde si c’est ce qui vous fait plaisir. Mais au moins voyons-nous face à face et ensuite on pourra commencer à établir une feuille de route de ce vers quoi nous voudrions aller », a-t-il encore détaillé.

« Jusqu’à ce que la première bombe soit lâchée »

Changement de stratégie ? Par le passé, le secrétaire d’Etat s’est fait publiquement rabrouer par Donald Trump pour avoir évoqué l’existence de « canaux de communication » pour « sonder » les intentions de Kim Jong-un en vue d’un éventuel dialogue. « Il perd son temps à négocier », avait tweeté début octobre le président américain.
M. Tillerson a évoqué l’absence de condition préalable lors d’une séance de questions-réponses. Dans son discours préparé à l’avance, il n’y avait pas fait référence, mais il avait rappelé que l’objectif des Etats-Unis restait bien d’obtenir, coûte que coûte, l’abandon « vérifiable » des armes nucléaires par la Corée du Nord.
« Je vais poursuivre nos efforts diplomatiques jusqu’à ce que la première bombe soit lâchée », a-t-il lancé, tout en se disant « confiant » dans la réussite de la « campagne de pression » internationale visant à sanctionner et isolerPyongyang.

« Une période de calme »

« Si la Corée du Nord fait de mauvais choix, nous sommes prêts militairement », a-t-il aussi prévenu. Donald Trump a plusieurs fois menacé de « détruire totalement » le pays en cas d’attaque de la part du régime de Kim Jong-un.
Selon le chef de la diplomatie américaine, si les Nord-Coréens ne renoncent pas à leurs ambitions nucléaires, « ils risquent de franchir un seuil à partirduquel nous, les diplomates, ne pourrons plus rien faire »« Si nous franchissons ce seuil, j’aurais échoué. Et je ne veux pas échouer », a insisté Rex Tillerson.
S’il n’y a pas de condition préalable à un dialogue, et si « la porte est ouverte », le secrétaire d’Etat a tout de même rappelé, comme par le passé, que des discussions ne pourraient intervenir qu’après « une période de calme »« Ce serait difficile de parler si au milieu de notre discussion vous décidez de testerun autre engin », a-t-il dit à l’intention de Pyongyang, qui a tiré le 28 novembre son dernier missile capable selon des experts d’atteindre le territoire continental des Etats-Unis

Le Monde.fr avec AFP |
 13.12.2017 à 01h39

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire